Les données sont connues. Selon le rapport 2021 du défenseur des droits, la prévalence des troubles psychiques chez les enfants placés est cinq fois supérieure à celle observée en population générale ; celle du handicap, elle, est huit fois supérieure. Les besoins de ces publics vulnérables sont immenses. Et parce qu’ils connaissent des ruptures de parcours, ce sont aussi ceux qui ont le plus de difficultés à accéder aux soins. Et il faut bien le dire : deux mondes, deux cultures, séparent les éducateurs des personnels sanitaires.
C’est pour résoudre…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?